Les Gobelins dans la Littérature.
L' aspect général des gobelins a légèrement évolué en littérature face à ce qu' ils étaient dans les légendes populaires.
Aujourd' hui, bien que toujours petit et vert, le gobelin possède un squelette osseux et une croissance des membres normaux. Sauvage et mauvais, il ne vit pas dans les collines mais dans des cavernes à la façon des nains.
Ce sont de petits humanoïdes au visage aplati, au nez épaté, les oreilles pointues et une large bouche aux dents pointues. Leur front est très incliné vers l'arrière et leurs yeux sont ternes et vitreux. Ils marchent droit mais leurs bras pendent presque jusqu'à leurs genoux. Ils sont généralment verts de peau, mais on les représente parfois dans des teintes sombres entre le jaune et le rouge.
Ils portent des vêtements de cuir sombre, préférant les couleurs ternes et sales. Ils s' habillent parfois d' un simple pagne.
Les gobelins sont lâches et n'attaquent qu'en masse. Sinon, ils fuient. Ils préfèrent lui tendre une embuscade et avoir l'avantage numérique.
Ils sont traîtres et couards. On ne peut se fier à eux. Sauvages et rebelles, ils obéissent pourtant aux supérieurs, bien que se soit surtout par obligation.
On les dit parfois très bon ingénieurs et mécaniciens, bien que ce poste soit souvent pratiqué par les gnomes. En tout cas, deux choses passionnent les gobelins: les armes et la roche.
Dans Le
Seigneur des Anneaux, ainsi que dans
Bilbo le Hobbit, les gobelins sont assimilés aux orques, bien que quelquefois Tolkien distingue ces deux espèces. Gobelin est alors un terme général pour ces races immondes et mauvaises.